Les messages de soutien loufoques vus sur les pancartes des spectateurs lors des courses de running
21/05/2025 18:46Ils sont là. Partout. Sur les trottoirs, aux ronds-points, le long des lignes droites interminables et même sur l’herbe détrempée des bas-côtés. Non, on ne parle pas des coureurs. On parle de ceux qui hurlent, applaudissent à s’en rougir les paumes, agitent des cloches et des casseroles… et surtout brandissent des pancartes à la fois absurdes, inspirées et brillamment décalées. Car si chaque marathon est une épreuve physique pour les uns, c’est aussi un véritable festival d’humour pour les autres. Peu importe la distance, la météo ou le nombre de kilomètres au compteur, les supporters sont là, fidèles au poste. Et en plus de donner de la voix, ils dégainent parfois des messages pleins de tendresse et drôles. Des perles de créativité au bord de la route, qui font sourire, lever la tête… et parfois même oublier la douleur.
✓ Voici une compilation des meilleurs messages lu et aperçus
| « La transpi c’est sexy »
Pancarte sponsorisée par ton/ta +1.
Célibataire ? Visiblement la transpiration plaît. Et si on rencontrait l’amour sur une course… Qui sait ?
| « Rappelle toi, c’était une bonne idée au départ »
Mais non, ce n’est pas juste au départ. Le sport c’est toujours une bonne idée.
➜ 5 conseils pour réussir sa préparation marathon
| « Negative Spritz assuré »
Negative split ou negative Spritz ? Les deux sont biens, c’est vrai.
| « Cours comme si le bar allait fermer ! »
Courir pour vite rejoindre l’arrivée et trinquer à ce nouvel objectif réalisé. Beau programme.
| « Conseil canicule : Boire la concurrence »
Uniquement en cas de forte chaleur (ou pas).
| « Pas + vite qu’à fond »
LE vrai conseil d’ami (celui qui vous veut du bien).
| « Vous gérez mieux que le gouvernement »
Sans commentaire, ce n’est pas nécessaire.
| « Je me suis entraînée toute la semaine pour tenir ce panneau »
C’est pas lourd mais c’est encombrant quand même…
| « Souris ! Souviens-toi que t’as payé pour ça »
L’expression « ce n’est pas donné » prend tout son sens.
| « Tu veux que j’appelle un UBER ? »
Non, évidemment que NON…
| « Joue la tranquille, de toute façon tu ne vas pas gagner »
Ceci étant dit, on met l’égo de côté et on continue…
| « Un maxi best-of et ça repart »
La pancarte idéale juste à côté du ravito bien sûr.
| » Plus que 39 km ! »
Allez, plus que… pas tout en fait.
C’est pas vrai, mais ça fait rire (nous, pas toi).
| « Si tu ne vomis pas, c’est que tu peux accélérer ! »
Inspiré d’un coach très (trop ?) motivé.
| « Pire qu’un dimanche chez belle-maman ? Peut-être pas »
Une manière de relativiser, sûrement…
| « Tu fais ça pour le t-shirt. On le sait tous »
Et pour la médaille, surtout si elle brille.
| « Courir : ta thérapie qui coûte plus cher qu’un psy »
Mais bon, c’est plus stylé sur Instagram.
| « Le mur du 30e ? Saute-le. Ou pleure, c’est ok aussi »
Toutes les émotions sont valides.
| « Ce n’est pas de la sueur, c’est ton corps qui pleure »
Mais il pleure de fierté. Peut-être.
| « Tu t’es entraîné 4 mois pour souffrir 4 heures. Bravo ! »
Ratio douleur / plaisir : 1 / 0, mais t’as signé.
| « Le ravito est encore loin… comme ton objectif chrono »
Autant te le dire franchement.
| « T’es pas dernier ! Y’a toujours le gars en licorne gonflable derrière toi »
True story, ou presque…
| « Courir un marathon, c’est comme une relation toxique : au début tu kiffes, à la fin tu pleures »
Mais t’y retournes, encore et encore…
En espérant que cet article donne de l’inspiration aux supporters présents sur les prochaines courses. Merci pour l’ambiance, les sourires, et les bonnes ondes que vous transmettez. Vous êtes, vous aussi, les héros du bitume.
